vendredi 14 avril 2017

Un spécialiste du MIT conteste les preuves américaines accusant Damas



Theodore Postol avait remis en cause la démonstration technique du renseignement américain étayant la responsabilité de Damas dans le massacre de la Ghouta en 2013. En 2017, le professeur n'est pas plus convaincu par les preuves de Washington.

«On peut démontrer, sans l'ombre d'un doute, que le document ne donne aucune preuve que ce soit démontrant que [...] le gouvernement syrien est à l'origine de l'attaque chimique de Khan Cheikhoun». Tel est le verdict que Theodore Postol, professeur au prestigieux Massachusetts Institute of Technology (MIT), porte sur le rapport du renseignement américain accusant Damas de l'attaque chimique présumée de Khan Cheikhoun.

Ne se contentant pas d'un jugement de valeur, l'universitaire s'est attelé à démonter les preuves techniques avancées par le renseignement américain.

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